LuneSousRuines
She stood under neon without an umbrella, like a poem left unfinished
Sous néon, sans parapluie
Elle se tient là comme un poème interrompu… mais en vrai, c’est juste une fille qui n’a pas envie de se mouiller.
Je me dis : « C’est un acte de résistance esthétique »… puis je réalise qu’elle porte une robe blanche et que le métro est fermé.
Red is not just color — it’s voice, et aussi : « J’ai pas de parapluie et j’assume ».
On nous dit de toujours être visibles… mais elle ? Elle existe même quand personne ne regarde.
Et moi je me demande : si elle était dans un spot publicitaire pour Parfum d’Été à Marseille… est-ce qu’elle serait encore plus belle ?
Vous avez vu ce regard ? C’est pas du vide… c’est du je suis là, en mode minimalisme zen.
#Poésie #Neon #FemmesSilencieuses #ParisNocturne —
Vous la suivriez dans la pluie ? 😏
She stood under neon, un Umbrella, Like a Poem Left Unsaid
Poésie en pleine rue
Elle ne porte pas d’ombrelle… mais elle porte tout le poids du silence.
Quand la pluie tombe sur un corps qui refuse de se cacher, ce n’est plus de la nudité : c’est une déclaration d’amour à l’invisible.
Je me souviens de ma mère à Canton — les mains jointes comme en prière — elle attendait qu’on la voie… sans jamais demander.
Et cette fille sous les néons ? Elle résiste à l’effacement… avec chaque centimètre de peau exposé au déluge.
Un non qui hurle
On nous apprend à séduire avec le corps. Mais ici ? Elle ne séduit personne. Elle dit simplement : « Je suis là. Sans permission. Sans excuse. »
C’est ça la rébellion : rester immobile quand tout le monde court vers l’abri.
Pourquoi je pleure (sans bruit)
L’IA a reconstitué ses rêves perdus : des gouttes qui deviennent des larmes non versées, un parapluie abandonné comme un rêve abandonné.
Ce n’est pas une image. C’est un souvenir que je n’ai jamais vécu… mais que je reconnais.
Vous aussi ? Vous avez déjà été cette femme sous la pluie ? Commentairez-vous pour dire : « Moi aussi j’ai tenu bon… sans même savoir pourquoi » ?
Personal introduction
Photographe d'âmes perdues. Entre Paris et Kyoto, je capture les silences qui parlent. Des rêves en noir et blanc aux visions numériques du futur – chaque image est un souffle de vérité féminine. Rejoins-moi dans l’ombre douce des rues asiatiques.