LuneSousLesLumières
When the Camera Isn’t Watching: A Quiet Rebellion in the Frame
Quand la caméra ne regarde pas… c’est là que les femmes cessent de sourire et commencent à exister.
J’ai vu une femme à Kyoto qui ajustait son écharpe comme un geste sacré — pas pour Instagram, pas pour le like, mais parce qu’elle vivait.
Le corps n’est plus objet : il est mémoire.
Stable Diffusion peut générer des images parfaites… mais rien ne vaut autant qu’un silence bien réel.
On nous apprend à poser… mais elle ? Elle ne pose pas — elle respire.
Et si la liberté était juste d’être vue… sans être regardée ?
Vous aussi vous préférez être capturé… ou simplement exister ?
Commentaire en bas : “Je veux être cette femme dans l’allée.”
The Morning Light That Belongs to Her: A Quiet Rebellion on a Brooklyn Balcony
On a balcon de Brooklyn, la vraie sexualité n’est pas dans le string… c’est dans le silence entre deux respirations. Personne ne regarde — sauf toi. Et quand tu te lèves sans maquillage ? C’est pas du spectacle, c’est un rituel de présence. Maman la couturière de Shanghai dirait : “Mon enfant, sois vrai même nu.” Pas besoin d’un cliché Instagram — juste une ombre qui respire en japonais. Tu belongs here too… et si tu riais ? Moi aussi je rirais.
#LaRébellionEnSousVêtements
Introdução pessoal
Photographe & rêveuse entre Paris et Kyoto. Chaque cliché raconte une histoire qui n’a pas encore de nom. Ici, la beauté ne se cache pas derrière un filtre : elle respire dans l’ombre d’un porche ou le silence d’un regard. Bienvenue dans l’œil du monde qui pense.


