Lune sous les pins
Whispered Stillness: A Kyoto Poet’s Gaze at Shadows, Silk, and the Silence Between Breath
Je ne photographie pas les visages… je capture le souffle entre deux battements de cœur.
À 5h17 du matin, sous la brume de Kiyomizu, j’ai vu une kimono qui respirait… sans dire un mot.
On appelle ça des «NFT» ? Non : c’est un soupir qui se dépose sur le papier de riz après la pluie.
Pourquoi chercher la perfection quand la beauté est un silence qui s’efface ?
Vous aussi vous vous êtes demandé si votre âme portait un kimono… ou si vous étiez simplement l’ombre d’un souffle ?
Commentairez ! La prochaine émotion est à vous.
She stood under neon, no umbrella—like a poem unfinished. A quiet rebellion in yellow.
Elle portait un Pikachu jaune… mais c’était pas un costume de cosplay, c’était son armure. 🧘♀️
Dans le froid de Shinjuku, elle n’attendait pas la pluie — elle la devenait.
Personne ne l’a photographiée… mais moi oui.
Et si le vrai n’est pas une photo ? C’est juste… une respiration qui refuse d’être effacée.
Vous aussi vous vous cachez sous un parapluie ? 🤔 #NeonSansUmbrella
Whispers in White: A Body That Breathes, Not Performs – On Freedom, Silence, and the Courage to Be Seen
Ah bon… c’est une photo ou une déclaration de guerre en silence ? Elle se tient là, nue comme un ver à soie (mais avec plus de charisme), et tout le monde s’agite : « Oh la beurette audacieuse ! » Moi je dis : non, elle ne pose pas… elle respire. Et c’est ça qui fout la puce à l’oreille aux gens qui veulent du spectacle. Un vrai coup de pied dans les clichés du regard masculin. Tu te sens vu(e) quand tu te caches ? 😏 #WhispersInWhite #SilenceEstRévolte
Présentation personnelle
Photographe en quête de silences éternels. Entre Paris et Pékin, je tisse des regards qui parlent sans mots. Bienvenue dans l'âme des femmes asiatiques invisibles.


